Gaële Gidrol-Mistral est professeuse au Département des sciences juridiques de la Faculté de science politique et de droit de l’UQAM. Elle est également directrice du Groupe de réflexion en droit privé (GRDP) et chercheuse dans le Groupe de recherche sur les humanités juridiques.
Alexandra Popovici est professeuse agrégée à la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke. Elle s’intéresse aux institutions fondamentales du droit privé dans une perspective critique et comparée.
Membre des barreaux du Québec et de l’Ontario, Laurence Bich-Carrière exerce au sein du groupe de Litige et règlements de différends du cabinet Lavery, de Billy, dans une pratique polyvalente avec une spécialisation en litige complexe, notamment en matière d’action collective.
Ciblées essentiellement sur la personne humaine dans une perspective de droit privé et comparé, ses recherches sondent les particules d’existence juridique de la personne au regard de sa responsabilité civile, de ses droits fondamentaux et du statut juridique du corps, notamment au moment du décès.
Ses recherches doctorales l’ont conduite à s’intéresser aux actes et institutions juridiques porteuses d’intérêt général en droit privé.
Mélanie Clément-Fontaine est professeure de droit à L’Université Paris-Saclay (UVSQ), et elle anime l’axe propriété intellectuelle et droit du numérique du laboratoire de droit des affaires et des nouvelles technologies (DANTE).
Flora Vern est enseignant–chercheur à l'Université catholique de Lyon et chercheur associé au Centre Antoine Favre de l'Université de Savoie Mont-Blanc.
Professeur de droit privé et vice-doyen en charge des relations internationales à la Faculté de droit et des sciences sociales de l'Université de Poitiers.
Clotilde Aubry de Maromont est Maîtresse de conférences à Faculté de droit et d’Économie de l’Université de La Réunion.
Elle s'intéresse aux phénomènes d'internormativité et aux questions touchant aux fondements du droit, notamment en matière du droit des personnes et de la famille.
Régine s’intéresse à l’encadrement des relations d’interdépendance entre adultes, et entre adultes et enfants. Ses recherches portent entre autres sur les transformations du droit de la famille, sur l’accès à la justice et sur la réforme du droit (histoire et droit comparé)
Édith Guilhermont interroge la notion de doctrine juridique, sa composition, ses productions, ses fonctions et son renouvellement grâce au phénomène du blogging juridique, ainsi que les conditions de transposition du concept hérité du droit français en droit privé québécois.
Ses travaux de recherche portent sur la méthodologie juridique, le droit comparé, la jurilinguistique et le droit des biens québécois. Plus récemment, Mathieu Devinat s’est engagé dans des travaux exploratoires sur la narration judiciaire et le droit comparé des biens.
Ses recherches questionnent la gradation de la capacité et de la personnalité juridique des sujets contemporains du droit, et la fabrication des espaces d’exclusion par la catégorisation juridique dans le droit international et dans la théorisation des droits de la propriété.
À partir d’une approche constructiviste structuraliste du droit et en prenant pour objet les réorganisations sociales du travail et de ses divisions (y compris sexuelle, raciale et internationale), le logement ou les politiques sociales, Martin Gallié s’intéresse aux contradictions entre le droit privé et les dispositions d’ordre public.
Guillaume Laganière s'intéresse à tous les aspects du droit international privé, notamment aux conflits de lois, à la compétence internationale des tribunaux judiciaires et à la reconnaissance des jugements étrangers, particulièrement en matière civile et commerciale.
Par ses travaux, Patrick Forget interroge les concepts fondamentaux du droit et les sens qui leur sont donnés à partir d’outils fournis par la linguistique et la terminologie.
Sébastien Brault est notaire-fiscaliste et étudiant au doctorat en droit de l’Université de Sherbrooke.
Ses travaux de recherche portent sur les interactions entre les règles de droit privé du droit civil du Québec et du droit fiscal canadien, plus particulièrement en droit des biens.
Les recherches de Laura Cárdenas portent sur le droit des biens, des successions et de la famille. Elles remettent généralement en question les conceptions de la famille implicites dans la législation et la jurisprudence dans ces domaines, en mettant l'accent sur leurs potentiels effets discriminatoires envers les familles LGBTQ+.
Sophie est étudiante au baccalauréat en droit ainsi qu’au DESS en Common Law et droit transnational à l’Université de Sherbrooke.
Véronique est actuellement étudiante à la maîtrise en droit civil à l’Université de Montréal.
Noémie Gourde-Bouchard est étudiante à l'École normale supérieure de Paris et candidate à la maîtrise en théorie et analyse du droit à l'Université Paris Nanterre et à l'École des hautes études en sciences sociales.
Jessica Leblanc s’intéresse à la mise en œuvre de projets collectifs à travers des outils juridiques de droit privé et aux transformations de la propriété sous l’effet des contraintes sociales et environnementales.
Ses recherches portent principalement sur le traitement du corps et de l'identité des personnes juridiques (principalement les personnes décédées) ainsi que sur le sexisme dans la langue juridique.
Issu d’une formation pluridisciplinaire, Simon Saint-Onge est actuellement étudiant au doctorat en droit à l’Université d'Ottawa sous la direction d'André Bélanger. Ses recherches portent, entre autres, sur le droit contractuel, comme en témoigne l'intitulé provisoire de son projet de thèse « Du contrat et de l'insurrection de la volonté ».
Stella Warnier est actuellement étudiante au baccalauréat en droit à l'Université du Québec à Montréal.